Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Photographie | Dessins et plans | Biologie | Peinture | Anémones de mer | Associations animales | Poissons-clowns | Amphiprion | Gravure | Princesses | Princes | Contes de fées | Géométrie | Couleurs | Dix-neuvième siècle | Dix-huitième siècle | Lumière -- Propagation | Projection axonométrique | Axonométrie | Chute libre | ...
Jean-Charles Alphand. Source : http://data.abuledu.org/URI/5103b8ee-jean-charles-alphand

Jean-Charles Alphand

Portrait de Jean-Charles Adolphe Alphand (1817-1891) par Alfred Roll (1846–1919), peintre officiel de la Troisième République. Jean-Charles Alphand est un ingénieur des ponts et chaussées connu pour son travail d'embellissement de Paris. En 1853, il est appelé par baron Haussmann comme ingénieur en chef au service des promenades et dès lors participe aux transformations de Paris sous le Second Empire en compagnie de son confrère Eugène Belgrand et du jardinier Jean-Pierre Barillet-Deschamps. Il y crée des promenades, des parcs et des jardins destinés à embellir et assainir Paris. Il remodèle également les bois de Vincennes et de Boulogne. À la destitution du baron Haussmann le 5 janvier 1870 il reste en poste et à la chute du Second Empire, il est maintenu directeur des travaux de Paris. À la mort d'Haussmann, en 1891, il fut élu à l'académie des Beaux-Arts et occupa le fauteuil d'Haussmann.

Jeune cabri des Alpes. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d47df-jeune-cabri-des-alpes

Jeune cabri des Alpes

Chez les petits bouquetins, la reconnaissance des sexes est impossible avant 5-6 mois et reste très difficile jusqu'à 1 an ; on parle alors de cabris. Au-delà d'un an, il devient possible de différencier les sexes des individus à l'observation par le diamètre des cornes. Celui des éterlous, c’est-à-dire des jeunes mâles, est plus important : les cornes se font plus épaisses à la base du fait de l'apparition des premières nodosités. Chez les éterles, jeunes femelles, elles sont plus minces et dépourvues de bourrelets. Les cornes constituent donc un élément moteur dans la détermination des sexes, mais également dans la détermination de l'âge d'un individu.

Kadiandou utilisé pour le labour des rizières. Source : http://data.abuledu.org/URI/52e4eff7-kadiandou-utilise-pour-le-labour-des-rizieres

Kadiandou utilisé pour le labour des rizières

Le kadiandou, outil traditionnel des Diolas utilisé pour la culture du riz en Casamance. Photo prise au musée en plein air consacré à la culture des Diolas à Boucotte (Casamance, Sénégal). L’outil de base reste le kayendo, (kajendo, kadiendo, kadiandou) une sorte de bêche ou pelle en bois de 40 à 70 centimètres environ, cerclée d’une lame en fer forgé très tranchante et emboîtée dans long manche rectiligne et cylindrique. Les deux pièces sont reliées par des lanières arrachées aux feuilles de rônier. L’ensemble est confectionné dans un bois très dur et mesure de 2 à 2,5 mètres. Le kayendo est surtout utilisé pour labourer les rizières, mais connaît aussi d’autres usages, comme les travaux de terrassement ou de construction. Le défrichage et les labours sont assurés par les hommes, tandis que les femmes sèment, repiquent les plants, procèdent au désherbage, puis récoltent le riz entre octobre et janvier. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Karabane.

L'effet Doppler : le paradoxe des jumeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a78dd8-l-effet-doppler-le-paradoxe-des-jumeaux

L'effet Doppler : le paradoxe des jumeaux

Tracés des cônes de lumière issus de la Terre (pointillés rouges) et du mobile (pointillés verts). La fréquence de réception, respectivement par le mobile, et par la Terre, traduit l'effet Doppler pour les phases aller et retour. Le schéma a été réalisé (pour simplifier la présentation - analyse des rapports de fréquence) dans le cas d'une vitesse égale à 0,8c. Des frères jumeaux sont nés sur Terre. L'un fait un voyage aller-retour dans l'espace en fusée à une vitesse proche de celle de la lumière. D'après le phénomène de dilatation du temps de la relativité restreinte, pour celui qui est resté sur Terre la durée du voyage est plus grande que pour celui qui est envoyé dans l'espace. Ce dernier rentre donc plus jeune que son jumeau sur Terre. Mais celui qui voyage est en droit de considérer, les lois de la physique étant identiques par changement de référentiel, qu'il est immobile et que c'est son frère et la Terre qui s'éloignent à grande vitesse de lui. Il pourrait donc conclure que c'est son frère qui est resté sur Terre qui est au final plus jeune. Ainsi chaque jumeau pense, selon les lois de la relativité restreinte, retrouver l'autre plus jeune que lui. Est-on tombé sur un véritable paradoxe ?

L'invitation pour Mme la Duchesse, d'Alice. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cfe81e-l-invitation-pour-mme-la-duchesse-d-alice

L'invitation pour Mme la Duchesse, d'Alice

L'invitation pour Mme la Duchesse, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Alice resta une ou deux minutes à regarder à la porte ; elle se demandait ce qu’il fallait faire, quand tout à coup un laquais en livrée sortit du bois en courant. (Elle le prit pour un laquais à cause de sa livrée ; sans cela, à n’en juger que par la figure, elle l’aurait pris pour un poisson.) Il frappa fortement avec son doigt à la porte. Elle fut ouverte par un autre laquais en livrée qui avait la face toute ronde et de gros yeux comme une grenouille. Alice remarqua que les deux laquais avaient les cheveux poudrés et tout frisés. Elle se sentit piquée de curiosité, et, voulant savoir ce que tout cela signifiait, elle se glissa un peu en dehors du bois afin d’écouter. Alice par John Tenniel 20.png Le Laquais-Poisson prit de dessous son bras une lettre énorme, presque aussi grande que lui, et la présenta au Laquais-Grenouille en disant d’un ton solennel : « Pour Madame la Duchesse, une invitation de la Reine à une partie de croquet. » Le Laquais-Grenouille répéta sur le même ton solennel, en changeant un peu l’ordre des mots : « De la part de la Reine une invitation pour Madame la Duchesse à une partie de croquet ; » puis tous deux se firent un profond salut et les boucles de leurs chevelures s’entremêlèrent.

La mort de Socrate. Source : http://data.abuledu.org/URI/50502f79-la-mort-de-socrate

La mort de Socrate

Tableau, réalisé par le peintre Jacques-Louis David, en 1787, représentant la mort du philosophe grec Socrate, condamné par les Athéniens à boire la ciguë pour avoir perverti la jeunesse. Alors que ses amis lui conseillent de s'enfuir, Socrate préfère la mort, pour faire la preuve que, même dans ces circonstances extrêmes où il est frappé par l'injustice, il reste fidèle aux lois de sa cité.

La Petite aux grelots 08. Source : http://data.abuledu.org/URI/534823a5-la-petite-aux-grelots-08

La Petite aux grelots 08

Images d'Épinal, 1880, La Petite aux grelots : Arrivée au pied de la tour Belle-Orange aperçut à travers le mur de cristal, son père que tourmentait la fée Rousse. Cette méchante femme cherchait par toutes sortes de moyens à se faire aimer. Mais Gentil-Aymar restait insensible à ses séductions. Belle-Orange envoya mille baisers à son père, et craignant le sommeil, elle agita ses bâtons et se retira. Souce : http://fr.wikisource.org/wiki/La_Petite_aux_grelots

La princesse Rosette, chapitre IV. Source : http://data.abuledu.org/URI/5313881b-la-princesse-rosette-chapitre-iv

La princesse Rosette, chapitre IV

La princesse Rosette, chapitre IV, seconde journée, conte de la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931) : Les applaudissements et l'enthousiasme pour Rosette devinrent si bruyants, que pour s'y soustraire elle se réfugia dans le jardin, ou Charmant la suivit ; ils se promenèrent le reste de la soirée et s'entretinrent de leurs projets d'avenir, si la fée Puissante permettait à Rosette d'unir sa vie à celle de Charmant. Les diamants de Rosette brillaient d'un tel éclat que les allées où ils marchaient, les bosquets où ils s'asseyaient, semblaient éclairés par mille étoiles.

La princesse Rosette, chapitre V. Source : http://data.abuledu.org/URI/5313893e-la-princesse-rosette-chapitre-v

La princesse Rosette, chapitre V

La princesse Rosette, chapitre V, Troisième et dernière journée, conte de la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931) : Charmant resta ébloui de la beauté de Rosette. La fée le tira de son extase en lui disant : "Vite, vite, marchons ; je n'ai plus qu'une demi-heure, après laquelle je dois me rendre près de la reine des fées, où je perds toute ma puissance pendant huit jours. Nous sommes toutes soumises à cette loi dont rien ne peut nous affranchir."

La seconde intercalaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/5096b2d8-la-seconde-intercalaire

La seconde intercalaire

Une seconde intercalaire, également appelée saut de seconde ou seconde additionnelle, est un ajustement d'une seconde du Temps universel coordonné (UTC). Et ce, afin qu'il reste assez proche du Temps universel (UT) défini quant à lui par l'orientation de la Terre par rapport aux étoiles. Afin de maintenir l'UTC, conformément à sa définition, à moins de 0,9 seconde du temps universel (UT1), il convient parfois d'ajouter ou de retrancher une seconde intercalaire. Ce système a été introduit en 1972 et permet de tenir compte simplement du ralentissement de la rotation de la Terre. En effet, si l'UTC est extrêmement stable, mesuré par un ensemble d'horloges atomiques, la durée d'un jour solaire moyen, liée à la rotation de la Terre, l'est beaucoup moins. De nombreux facteurs plus ou moins périodiques influencent cette rotation. Le facteur dominant à long terme est le ralentissement de la rotation terrestre dû à la dissipation d'énergie dans les phénomènes des marées. D'une façon générale la date de la prochaine seconde intercalaire n'est pas prévisible avec exactitude. Les secondes intercalaires sont ajoutées ou retranchées à la fin de la dernière minute du dernier jour du mois précédant le 1er juillet ou le 1er janvier. De plus, si le ralentissement ou l'accélération de la rotation de Terre devait s'accroître de sorte que l'écart maximum de 0,9 s ne puisse plus être assuré dans la même période de 6 mois, il serait possible d'insérer ou de retrancher une seconde intercalaire supplémentaire avant un 1er avril ou un 1er octobre. Entre sa mise en place en 1972 et le 30 juin 2012, 25 secondes intercalaires ont été ajoutées.

Lac d'Ounianga Serir au Tchad. Source : http://data.abuledu.org/URI/54d237f9-lac-d-ounianga-serir-au-tchad

Lac d'Ounianga Serir au Tchad

Les lacs d'Ounianga sont un ensemble d'une cinquantaine de lacs aux eaux fortement salines, occupant un bassin entre les massifs du Tibesti à l'ouest et de l'Ennedi à l'est. Il s'agit plus précisément de deux ensembles de lacs : Ounianga Kébir, du nom d'un village voisin (littéralement, "le grand Ounianga"), et Ounianga Sérir ("le petit Ounianga"), 60 km au sud-est. Les lacs d'Ounianga forment le reste d'un lac plus grand qui occupait le bassin il y a 5 000 à 15 000 ans. Ils occupent une superficie totale de 20 km2 et forment le plus vaste ensemble lacustre du Sahara. La vitesse d'évaporation des lacs est l'une des plus élevées du monde et la région ne connait quasiment aucunes précipitations. Les lacs sont essentiellement alimentés par la nappe phréatique fossile, créée lorsque le climat de la zone n'était pas désertique, et qui affleure à cet endroit. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Lacs_d%27Ounianga

Le carré de Sierpinski. Source : http://data.abuledu.org/URI/5183f2e8-le-carre-de-sierpinski

Le carré de Sierpinski

Le tapis de Sierpiński (1916), du nom de Wacław Sierpiński (1882-1969), est une fractale obtenue à partir d'un carré. Le tapis se fabrique en découpant le carré en neuf carrés égaux avec une grille de trois par trois, et en supprimant la pièce centrale, et en appliquant cette procédure indéfiniment aux huit carrés restants.

Le dinosaure Sue. Source : http://data.abuledu.org/URI/53392d4c-le-dinosaure-sue

Le dinosaure Sue

Sue est le fossile de Tyrannosaurus rex le plus complet et le mieux préservé jamais découvert. Ce dernier mesure 12,8 mètres de long pour 4 mètres à hauteur de hanches ; il est vieux de 67 millions d'années. Le fossile a été nommé d'après la paléontologue qui en a fait la découverte, Sue Hendrickson, et bien qu'il soit communément appelé par un prénom féminin, le sexe réel du fossile reste inconnu. Sue a été découvert durant l'été 1990, dans le Dakota du Sud. Le crâne original, situé ailleurs dans le musée, n'a pas été monté sur le corps en raison des difficultés dans l'examen de l'échantillon de quatre mètres au niveau du sol, et pour des raisons esthétiques nominales (la réplique n'a pas besoin d'un support en acier sous le mandibule). L'examen des os a révélé que Sue mourut à vingt-huit ans, un record pour le reste fossilisé d'un T. rex. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mus%C3%A9um_Field.

Les cygnes sauvages d'Andersen. Source : http://data.abuledu.org/URI/51112ea0-les-cygnes-sauvages-d-andersen

Les cygnes sauvages d'Andersen

Illustration par Bertall du conte d'Andersen, Les cygnes sauvages, 1876 : "Élisa fut réveillée par le bruit des ailes des cygnes qui s’envolaient au-dessus d’elle. Ses frères, transformés de nouveau, s’éloignaient en traçant de grands cercles dans les airs. L’un d’eux seulement, le plus jeune, resta auprès d’elle. Il posa sa tête dans le giron de la pauvre fille, qui caressait ses blanches ailes, et ils passèrent ainsi toute la journée ensemble. Après ce soir, les autres revinrent, et, lorsque le soleil se fut couché, ils reprirent leur figure naturelle."

Lettre de Newton sur la vision en 1682. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a595d2-lettre-de-newton-sur-la-vision-en-1682

Lettre de Newton sur la vision en 1682

Lettre en anglais d'Isaac Newton au Dr. William Briggs, chirurgien ophtalmologiste (20 juin 1682) au sujet de son ouvrage "Une nouvelle théorie de la vision" (A New Theory of Vision) : British Museum Add. Ms. 4327 f. 100. Publiée en facsimile dans le "Dictionnaire encyclopédique" de Quillet, Paris, 1953. Avant Isaac Newton, on pensait que le prisme ajoutait des couleurs au faisceau de lumière blanche. Newton place alors un deuxième prisme de telle manière qu'il ne soit atteint que par une seule couleur et découvre que la couleur reste inchangée. Il en conclut que les prismes permettent de disperser les couleurs. Il utilise ensuite un deuxième prisme et réussit à recomposer un faisceau blanc à partir de l'arc-en-ciel généré par le premier prisme : la démonstration était faite que les couleurs ne sont pas le résultat d'une action du prisme sur la lumière blanche, mais bien que c'est la lumière blanche qui est composée de plusieurs couleurs.

Lion de mer en Australie. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e2681c-lion-de-mer-en-australie

Lion de mer en Australie

Le lion de mer australien (Neophoca cinerea) est la seule espèce d'otarie du genre Neophoca, de la sous-famille des otarinés (Lion de mer). Il se reproduit uniquement sur les côtes sud de l'Australie. À l'heure actuelle, il reste encore environ 12000 lions de mer australiens protégés par "the Australian National Parks and Wildlife Act" de 1972 qui en a interdit la chasse commencée avec l'arrivée des immigrants européens sur le continent. Le lion de mer australien ne vit que dans l'océan proche des côtes australiennes. Il se nourrit uniquement en mer, où il chasse les poissons, calamars et autres animaux marins. Ses nageoires pectorales lui permettent de se déplacer rapidement dans l'eau et il peut se mouvoir facilement sur le sol en marchant sur ses quatre nageoires.

Machine d'Atwood. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c74d9c-machine-d-atwood

Machine d'Atwood

Machine d'Atwood : La chute libre est difficile à étudier quantitativement, car les temps de parcours sont très courts. Atwood proposa « sa » machine pour diminuer l'accélération des masses. Sur une poulie, un fil relie deux masses m_1 et m_2 (m_1 < m_2). Si les masses sont égales et le système immobile il restera ainsi en équilibre. Si l'une des masses est plus grande (m_2 > m_1, par exemple), son poids entraîne le mouvement, mais on conçoit que la masse m_1 ralentit la chute de m_2 .

Machine d'Atwood. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c74c39-machine-d-atwood

Machine d'Atwood

Machine d'Atwood (surcharge à gauche, masse à droite) : Atwood (1746-1807) est surtout célèbre chez les élèves de terminales math. élém. des années 1945-1972, par sa « machine » hautement didactique qui permettait de s'entraîner sur la bonne application de la « relation fondamentale de la dynamique » (deuxième loi de Newton) et/ou la conservation de l'énergie mécanique. Tous les grands lycées de France possèdent sans doute encore, dans leurs placards, une machine d'Atwood. Du point de vue expérimental, l'appareil fut l'objet d'un travail soutenu durant au moins un siècle, ce qui permit de tenir compte de beaucoup de correctifs. Néanmoins, pouvoir placer l'appareil dans un grand tube de Newton est resté l'apanage des très grands lycées. La chute libre est difficile à étudier quantitativement, car les temps de parcours sont très courts. Galilée est le premier à chercher comment la ralentir, sans la « dénaturer » : il pensa au plan incliné d'angle α (où intervient seulement g⋅sinα), puis à la succession de plans inclinés. La difficulté pour Galilée restait la mesure du temps… Atwood proposa « sa » machine pour diminuer l'accélération des masses.

Naissance d'un oiseau. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c7bc23-naissance-d-un-oiseau

Naissance d'un oiseau

Naissance d'un oiseau en huit étapes, de Matthias Jacob Schleiden (1804-1881). L'embryon, lorsque son développement est terminé, absorbe le reste de vitellus, l’albumen ayant déjà été consommé. Le petit commence par briser la poche d'air qui s'est constituée dans le bas de l'œuf. L'allantoïde, qui lui avait fourni de l'air, se déshydrate. Le nouveau-né rompt la coquille avec une structure nommée diamant — situé sur le bec pour les oiseaux et les tortues ou sur la mâchoire pour les serpents — en donnant des coups de tête. Cette opération peut lui prendre du temps : pour certaines espèces, les parents aident leurs petits au cours de cette opération. L'amnios et l'allantoïde restent dans la coquille. Le diamant tombe après quelques jours.

Nappe de charriage. Source : http://data.abuledu.org/URI/50957489-nappe-de-charriage

Nappe de charriage

Rested d'une nappe de charriage en gris, après un début d'érosion : matériel autochtone et allochtone, nappe, faille, fenêtre, klippe. Une nappe de charriage est un ensemble de couches géologiques qui, lors d'une orogenèse, se sont décollées du socle et se sont déplacées sur de grandes distances. On parle alors de terrains allochtones par opposition aux terrains autochtones. Les termes allochtone et autochtone sont utilisés par convention et ne préjugent pas du déplacement absolu des strates mais de leurs déplacements relatifs, il est en effet souvent impossible de déterminer si c'est la couche supérieure ou inférieure qui s'est déplacée. La zone par laquelle la nappe est restée attachée sur son socle s'appelle la racine, la racine est fréquemment invisible ou a disparu ; dans ce cas on utilise la notion de patrie qui désigne la région de provenance de la nappe si elle existe encore. Un morceau de nappe isolé du reste de la nappe par l'érosion s'appelle une klippe. Le terme îlot a aussi été utilisé en français, ce terme datant de l'époque où la nature des nappes de charriage n'était pas connue et où l'on pensait que ces lambeaux de charriage provenaient d'îlots entourés par une mer peu profonde. Une zone de la nappe érodée permettant de voir les terrains autochtones sous-jacents s'appelle une fenêtre.

Nids collectifs de passereaux africains en Namibie. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d1c1c4-nids-collectifs-de-passereaux-africains-en-namibie

Nids collectifs de passereaux africains en Namibie

Nids de passereaux africains en Namibie : Républicain social (Philetairus socius). Ces oiseaux construisent des nids collectifs qui peuvent atteindre une taille énorme et servir à des générations successives, ce qui lui ont valu son nom. Ces nids comptent dans les plus grandes structures construites par des oiseaux, et sont utilisés toute l'année. Ils sont très bien structurés, et fournissent une température plus supportable que celle de l'extérieur. La nuit, les chambres centrales, où les oiseaux dorment, maintiennent la chaleur. Les chambres en périphérie du nid sont utilisées de jour et permettent aux oiseaux de rester à l'ombre. Cette immense « botte de paille » pouvant atteindre 4 m de haut pour 7 m de long, peut parfois peser plusieurs tonnes et casser son support (arbre, poteau, etc.). Ces nids sociaux peuvent accueillir jusqu'à 500 oiseaux, et sont aussi habités par plusieurs autres espèces d'oiseaux commensaux, notamment par le Fauconnet d'Afrique, ou d'autres petits passereaux. De plus grands oiseaux peuvent même construire leur propre nid sur le nid des républicains.

Nuages en fleurs. Source : http://data.abuledu.org/URI/5116c077-nuages-en-fleurs

Nuages en fleurs

Nuages en fleurs, 1903, par Odilon Redon (1840-1916). Les années 1890 et le début du siècle sont une période de transformation, de mutation, c'est l'abandon de ses « noirs », il commence à utiliser le pastel et l'huile, et la couleur domine les œuvres du reste de sa vie.

Oothèque de mante religieuse. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f5b178-ootheque-de-mante-religieuse

Oothèque de mante religieuse

Oothèque de mante religieuse (Hierodula patellifera) coupée en deux après éclosion des oeufs. En septembre, octobre ou novembre, la femelle pond 200 à 300 œufs. Elle dépose une soie blanche, proche de la mousse de polyuréthane, sur un support comme une tige forte, une pierre ou un mur. Émise sous une forme blanche et crémeuse, cette soie est brassée et agencée par les valves génitales et prend la forme d'une structure en lamelles. Une fois durcie et brunie par oxydation, elle protège les œufs jusqu'au printemps. Cette structure s'appelle l'oothèque. Les œufs sont jaunes, très allongés, et régulièrement disposés au fur et à mesure de l'élaboration de l'oothèque. Ils n'occupent que la partie centrale, et sont logés dans des cellules très étroitement accolées qui forment une sorte de noyau dense et résistant. Le reste de l'oothèque est essentiellement lamellaire, très aéré, nettement moins rigide.

Opacité électromagnétique de l'atmosphère. Source : http://data.abuledu.org/URI/50be41a2-opacite-electromagnetique-de-l-atmosphere

Opacité électromagnétique de l'atmosphère

Opacité électromagnétique (ou transmittance) de l'atmosphère en fonction de la longueur d'onde (jusqu'à 1km). L’absorption optique est une autre propriété importante de l'atmosphère. Différentes molécules absorbent différentes longueurs d'onde de radiations. Par exemple, l'O2 et l'O3 absorbent presque toutes les longueurs d'onde inférieures à 300 nanomètres. L'eau (H2O) absorbe la plupart des longueurs d'onde au-dessus de 700 nm, mais cela dépend de la quantité de vapeur d'eau dans l'atmosphère. Quand une molécule absorbe un photon, cela accroît son énergie. Quand les spectres d'absorption des gaz de l'atmosphère sont combinés, il reste des « fenêtres » de faible opacité, autorisant le passage de certaines bandes lumineuses. La fenêtre optique va d'environ 300 nm (ultraviolet-C) jusqu'aux longueurs d'onde que les humains peuvent voir, la lumière visible (communément appelé lumière), à environ 400–700 nm et continue jusqu'aux infrarouges vers environ 1100 nm. Il y a aussi des fenêtres atmosphériques et radios qui transmettent certaines ondes infrarouges et radio sur des longueurs d'onde plus importantes. Par exemple, la fenêtre radio s'étend sur des longueurs d'onde allant de un centimètre à environ onze mètres. Le graphe ci-dessus représente 1-T (exprimé en %) (T:transmittance)

Organisation mondiale du RIR. Source : http://data.abuledu.org/URI/50706955-organisation-mondiale-du-rir

Organisation mondiale du RIR

Carte du monde des organisations de registre Internet régional : Un registre Internet régional (RIR, de l'anglais Regional Internet Registry) est un organisme qui alloue les blocs d'adresses IP (adressage IPv4, IPv6) et des numéros d'"Autonomous System" dans sa zone géographique. Internet étant un réseau d'origine américaine, les adresses sont distribuées par l'IANA de ses origines jusqu'aux années 1990. En 1990, la RFC 1174 propose un modèle de distribution hiérarchique des adresses. Les RIR voient le jour, le premier étant le RIPE NCC, opérationnel en 1992, il est suivi par l'ARIN et l'APNIC en 1993. En 1996, la RFC 2050 précise le rôle des RIR, à savoir : la conservation des adresses, qui consiste à distribuer les ressources de façon équitable et efficace ; l'agrégation, qui consiste à contribuer à ce que le routage sur Internet reste stable grâce aux techniques CIDR ; la documentation et l'enregistrement, qui assure l'unicité et la publicité de l'utilisation des adresses.

Panache Petitgris 22. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c6137f-panache-petitgris-22

Panache Petitgris 22

Panache Petitgris, 1911, par Beatrix Potter (1866-1943) : The Tale of Timmy Tiptoes-22, Source : http://www.gutenberg.org/ebooks/14797. Le tamia resta dans l'arbre pendant une semaine.

Plaque de Thomas Paine à Paris. Source : http://data.abuledu.org/URI/507287c6-plaque-de-thomas-paine-a-paris

Plaque de Thomas Paine à Paris

Plaque apposée au n° 10 de la rue de l'Odéon, Paris Thomas Paine (1737-1809) : Anglais de naissance, Américain d'adoption, Français par décret, a vécu dans cet immeuble de 1797 à 1802. Il mit sa passion de la liberté au service de la Révolution française, fut député à la Convention et écrivit ''Les Droits de l'Homme'' : « Lorsque les opinions sont libres, la force de la vérité finit toujours par l'emporter. » Ses écrits, parmi lesquels figure "Les Droits de l'Homme" (Rights of Man 1791), ont exercé une grande influence sur les acteurs de la Révolution française : il est élu député à l’assemblée nationale en 1792. Considéré par les Montagnards comme un allié des Girondins, il est progressivement mis à l’écart, notamment par Robespierre, puis emprisonné en décembre 1793. Après la Terreur, il est relâché et connaît un certain succès grâce à son livre "Le Siècle de la raison" (The Age of Reason, 1793-1794) qui analyse le christianisme et milite en faveur du déisme. Dans "La justice agraire" (Agrarian Justice, 1795), il analyse les origines du droit de propriété et introduit le concept de Revenu de base, proche du revenu minimum. Thomas Paine resta en France jusqu’en 1802, période pendant laquelle il critique l’ascension de Napoléon Bonaparte, qualifiant le Premier Consul de « charlatan le plus parfait qui eût jamais existé ». Sur l’invitation du président Thomas Jefferson, il revient aux États-Unis où il meurt à 72 ans.

Poisson clown en mer rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/552ed64c-poisson-clown-en-mer-rouge

Poisson clown en mer rouge

Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.

Poisson clown en mer rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/552ed668-poisson-clown-en-mer-rouge

Poisson clown en mer rouge

Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.

Poisson clown en mer rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/552ed674-poisson-clown-en-mer-rouge

Poisson clown en mer rouge

Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.

Poisson clown en mer rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/552ed683-poisson-clown-en-mer-rouge

Poisson clown en mer rouge

Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.

Poisson clown en mer rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/552ed68f-poisson-clown-en-mer-rouge

Poisson clown en mer rouge

Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.

Poisson clown en mer rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/552ed699-poisson-clown-en-mer-rouge

Poisson clown en mer rouge

Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.

Poisson clown en mer rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/552ed6a6-poisson-clown-en-mer-rouge

Poisson clown en mer rouge

Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.

Poisson clown en mer rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/552ed6b1-poisson-clown-en-mer-rouge

Poisson clown en mer rouge

Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.

Poisson-clown et anémone de mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e64079-poisson-clown-et-anemone-de-mer

Poisson-clown et anémone de mer

Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu'ils forment avec dix espèces d'anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d'une anémone. L'individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n'interviennent pas dans la reproduction.

Portrait de Bilbon la sacoche. Source : http://data.abuledu.org/URI/53bad630-portrait-de-bilbon-la-sacoche

Portrait de Bilbon la sacoche

Portrait de Bilbon la sacoche. Il hérite de la propriété de Cul-de-Sac (la Forêt Noire) et du titre de chef de famille après la mort de ses parents. Bien qu'il reste célibataire, il acquiert une réputation de hobbit sérieux et raisonnable. C'est à l'âge de cinquante ans, en 1341, que Bilbon se retrouve malgré lui entraîné dans une aventure, lorsque le magicien Gandalf et les treize nains font irruption chez lui. Les nains, conduits par leur seigneur Thorin, sont à la recherche d'un cambrioleur expert pour récupérer le trésor de leurs ancêtres, volé par le dragon Smaug. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bilbon_Sacquet

Portrait de Serge Rakhmaninov. Source : http://data.abuledu.org/URI/528d5597-portrait-de-serge-rakhmaninov

Portrait de Serge Rakhmaninov

Portrait de Rakhmaninov (1873-1943), par Boris Grigoriev (1886–1939). Rakhmaninov est un compositeur, pianiste et chef d'orchestre russe. Son œuvre est d'un romantisme hérité de ses maîtres, Tchaïkovski et Rimski-Korsakov,et reste indifférente à l'évolution de son époque.

Principe de réflexion angulaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a2a7e0-principe-de-reflexion-angulaire

Principe de réflexion angulaire

Principe de réflexion angulaire par analogie avec un miroir. La réflexion est le brusque changement de direction d'une onde à l'interface de deux milieux. Après réflexion l'onde reste dans son milieu de propagation initial. Ce phénomène se rencontre pour différents types d'ondes : réflexion optique ou réflexion des ondes électromagnétiques ; réflexion acoustique ou réflexion des ondes mécaniques ; réflexion électrique.

Projection orthogonale et rotation. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e82887-projection-orthogonale-et-rotation

Projection orthogonale et rotation

Angles de rotation du plan de projection afin d'obtenir une perspective par projection orthogonale avec l'axe des ''z'' vertical. On peut décrire le plan de projection par des rotations transformant un plan donné, par exemple le plan (Oxz). Si l'on s'impose que la projection de vec{e}_3 reste verticale, alors on voit que le plan de projection peut s'obtenir par deux rotations, par exemple : 1) une rotation autour de l'axe (Ox) ; puis une rotation autour de la projection de (Oz) sur le plan. 2) On peut aussi procéder dans « l'ordre inverse » : une rotation autour de (Oz) ; puis une rotation autour de la trace du plan (Oxy) sur le plan de projection.

Projet du château des Tuileries. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e81a4f-projet-du-chateau-des-tuileries

Projet du château des Tuileries

Dessin en perspective cavalière du projet de château des Tuileries, en 1578-1579, par Jacques Androuet du Cerceau (1510-1584). Les premières représentations en perspective parallèle apparaissent au XVIe siècle sous la plume d'Androuet du Cerceau qui construit des perspectives cavalières empiriques. Jacques Ier Androuet du Cerceau (1510 ? -1585 ?), est un graveur et architecte français de la seconde moitié du XVIe siècle, célèbre pour ses gravures d'architecture et ses publications : il a publié quelques livres contenant des modèles très importants d'ornements et des travaux sur l'architecture, qui auront une forte influence sur les architectes français du XVIIe siècle et au-delà. Son ouvrage le plus connu reste "Les plus excellents bastiments de France" où il décrit avec minutie et talent les réalisations majeures des architectes de son temps. Ses dessins, plans, élévations, détails et commentaires constituent un témoignage unique sur des constructions dont beaucoup n'existent plus aujourd'hui, ou ont été très largement remodelées par les siècles.

Rampe enveloppante d'accès à une pyramide. Source : http://data.abuledu.org/URI/50aeaa25-rampe-enveloppante-d-acces-a-une-pyramide

Rampe enveloppante d'accès à une pyramide

Rampe hélicoïdale (ou enveloppante) préconisée par Georges Goyon et N. Wheeler. Cette théorie s'appuie sur une construction de la pyramide avec des rampes de brique crue parallèles aux faces et permettant de tirer les blocs de pierre d'un étage à l'autre. Enveloppant entièrement la construction, cette rampe aurait permis l'élaboration de chaque assise, pierres de parement incluses, offrant une explication plausible à la finition des pierres de revêtement à partir du sommet de la pyramide. En effet, une fois le pyramidion posé, il ne restait plus qu'à démanteler la rampe à partir du sommet, dévoilant les blocs de parement qu'il suffisait de ravaler.

Ressort en double volute. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c6df41-ressort-en-double-volute

Ressort en double volute

Ressort en double volute : pour les ressorts en volute on n'utilise plus du fil mais des bandes de tôle spéciale découpées selon divers profils. Si l'on souhaite que la raideur reste constante, alors il faut faire en sorte que la section aille en augmentant de l'intérieur vers l'extérieur. Il est également possible de réaliser des ressorts en double volute. Outre leurs caractéristiques mécaniques un peu spéciales, les ressorts en volute ont la particularité de présenter une structure fermée, limitant les risques de blocage par des corps étrangers. Le ressort en double volute, par exemple, est très souvent utilisé pour écarter les deux branches des sécateurs. Les jardiniers n'aiment pas beaucoup les sécateurs munis de ressorts hélicoïdaux ordinaires, car les brindilles s'y coincent facilement. Ce type de ressort est également appelé ressort Comtois.

Tannage du cuir. Source : http://data.abuledu.org/URI/524dbaa5-tannage-du-cuir

Tannage du cuir

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.161 ; manuel scolaire, édition de 1904 : MÉGISSEUR TRAVAILLANT À ASSOUPLIR UNE PEAU. - Lorsque le cuir a été tanné et qu'il a subi les premières préparations, il reste à le rendre doux et souple. Pour cela, l'ouvrier l'étend sur une table et le frotte avec un instrument en bois cannelé qu'on nomme marguerite. - On appelle mégissiers les ouvriers qui travaillent les peaux fines, et corroyeurs ceux qui travaillent les peaux plus grossières.

Tour de l'Or à Séville. Source : http://data.abuledu.org/URI/518007e1-tour-de-l-or-a-seville

Tour de l'Or à Séville

Tour à douze côtés dite "de l'or" à Séville en Espagne. La Tour de l'or (Torre del Oro en espagnol) est une tour d'observation militaire construite au XIIIe siècle à Séville en Espagne durant la dynastie des Almohades afin de contrôler l'accès à la ville depuis le fleuve Guadalquivir. La tour a été construite comme un élément défensif de l'ensemble allant de l'Alcázar au fleuve. Le nom de la tour proviendrait des tuiles dorées qui couvraient le toit et ornaient le reste du bâtiment. Construite au début du XIIIe siècle, la tour possède douze côtés et de sa base, il était possible de tendre une chaîne en travers de la rivière pour empêcher les navires ennemis de remonter jusqu'au port de Séville. Lorsque ces chaînes se sont brisées, l'armée chrétienne de Ferdinand III de Castille, commandée par l'amiral Ramón de Bonifaz, a pu s'emparer de la ville en 1248.

Verre de Whisky. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b613a3-verre-de-whisky

Verre de Whisky

Verre de whisky. Le whisky (ou whiskey) est le nom générique d'un ensemble d'eaux-de-vie fabriquées par distillation de céréales maltées ou non maltées. L'origine du whisky est aujourd'hui encore sujette à controverses entre Irlandais et Écossais, chacun allant de sa preuve la plus ancienne. Par la suite, le whisky a été exporté vers le Nouveau Monde, notamment aux États-Unis, au Canada et en Chine. Depuis le début du XXe siècle, des distilleries se sont développées au Japon, puis dans le reste du monde plus récemment.

Vestiges de l'observatoire de Thiaumont près de Verdun. Source : http://data.abuledu.org/URI/5468baa7-vestiges-de-l-observatoire-de-thiaumont-pres-de-verdun

Vestiges de l'observatoire de Thiaumont près de Verdun

Restes déchiquetés de l'observatoire cuirassé de l'Ouvrage de Thiaumont, près de Verdun dans la Meuse. L'ouvrage de Thiaumont est une fortification du système Séré de Rivières dans la région de Verdun. Il est situé sur la rive droite de la Meuse, entre l'ouvrage de Froideterre et le fort de Douaumont. Il a été entièrement détruit par les bombardements lors de la bataille de Verdun en 1916. Le système Séré de Rivières est un ensemble de fortifications bâti à partir de 1874 le long des frontières et des côtes françaises, en métropole ainsi que dans quelques colonies. Ce système défensif remplace les fortifications bastionnées mises en place notamment par Vauban. Il doit son nom (non officiel) à son concepteur et promoteur, le général Raymond Adolphe Séré de Rivières. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ouvrage_de_Thiaumont

Vinaigre médiéval. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c8847c-vinaigre-medieval

Vinaigre médiéval

Vinaigre médiéval : le vinaigre est fabriqué dans un tonneau de vin auquel on a ajouté une "mère". Le mot « vinaigre » provient du mot composé « vin aigre ». Les vins en fût sont particulièrement vulnérables aux attaques de la bactérie acétique "Acetobacter suboxydans". Dans chaque famille ayant à disposition des restes de boissons alcoolisées, du vin dans la plupart des régions, on fabriquait son vinaigre dans un récipient réservé à cet usage, le vinaigrier. Le vinaigrier est soit un petit fût, soit un pot de grès, l'un comme l'autre munis d'un orifice en haut pour verser le liquide et d'un robinet en bas pour soutirer le vinaigre. On le place dans un local normalement chauffé, la cuisine par exemple, à un endroit où on ne le bougera plus. Source : Le Tacuinum sanitatis, manuel médiéval sur la santé, basé sur le Taqwin al‑sihha تقوين الصحة (Tableaux de santé), un traité médical arabe écrit par Ibn Butlan (v. 1001-1066), médecin irakien. Ses travaux traitent de l'hygiène, de la diététique et de l'exercice physique. Il a souligné les avantages d'une prise en compte attentive du bien-être physique et mental de la personne.

Vue du Fort Royal de la Martinique vers 1750. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f71eb7-vue-du-fort-royal-de-la-martinique-vers-1750

Vue du Fort Royal de la Martinique vers 1750

Vue de Fort Royal, Martinique. François Denis (1732-1817) : Le 15 septembre 1635, le flibustier Pierre Belain d'Esnambuc débarque dans la rade de Saint-Pierre avec 150 colons français qui ont été chassés de l'île Saint-Christophe. Il installe ainsi la première colonie dans l'île, pour le compte de la couronne de France et de la Compagnie des îles d'Amérique. Les premiers établissements français en Martinique sont Le Fort Saint-Pierre (actuelle ville de Saint-Pierre) fondé par d'Esnambuc, et la ville du Fort-Royal (actuellement Fort-de-France) fondée par les gouverneurs De Baas et Blenac. la lutte se concentre entre les Français et les Anglais (et, après 1707, date de la fondation du Royaume-Uni, les Britanniques). Tous les grands conflits européens ont leur composante caraïbe. C'est notamment le cas de la guerre de Sept Ans qui vaudra à la France la perte de nombreuses possessions au profit de la Grande-Bretagne. La Martinique deviendra ainsi, par deux fois, possession britannique, mais pour d'assez courtes périodes. Elle restera définitivement française après 1816.